REMARIAGE D'UNE VEUVE À LA MAFIA - Chapitre 1.5

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#CHAPITRE 1.5

UNE HISTOIRE IMPOSSIBLE !

Genre : DRAME_PASSION_POUVOIR

Écrit par : CHRO HAÏTIENNE 🇭🇹

" POINT DE VUE DE SELENA"

Raquel et moi sommes arrivés à la résidence DI BIANCHI, il était 1h23.

Nous avons descendues la voiture pour rencontrer cet homme qui nous a ouvert la porte et nous nous sommes approchés du salon principal.

Cet hhomme retourne à son poste, Raquel et moi avançons et Lorenzo est toujours là, mais j'ai l'impression qu'il va sortir à cause de la façon dont il est bien habillé.

Quand il nous a vu, il s'est levé du canapé en velours.

__Lorenzo : Je vous attendais mesdames.

__Raquel : Tu sors Lorenzo ?

__Lorenzo : Oui. Vous êtes bien amusées? Nous a-t-il demandé.

__Raquel : C'était extraordinaire.

__Lorenzo : et toi Séléna ?

Je levai mon regard sombre vers le jeune homme qui m'adressait cette voix courtoise.

__Moi : Parfait !

__Lorenzo : Lequel de vous deux a embrassé un homme ? Il nous a posé cette question..

___Moi : je vais me coucher.

Sur ce mot, j'ai tourné mes talons hauts et j'ai monté les escaliers pour rejoindre ma chambre.

__Raquel : Ne dis pas un mot. » Elle a exhorté le jeune homme qui riait malicieusement.

__Lorenzo : Je n'ai rien dit. Il rigole.

La jeune femme hocha la tête pour suivre le même chemin que Séléna.

Le jeune homme sourit en regardant la montre à son bras, ajusta sa veste et partit.

Je suis sortie de la salle de bain, après m'être brossé les dents, j'ai pris un foulard pour attacher mes cheveux afin de me libérer.

Je me suis craqué le cou, je suis allé défaire le lit en soulevant deux et trois oreillers pour le poser sur le canapé à côté du lit.

Raquel semble venir vers moi une tasse à la main dans ce sourire capricieux, je comprends déjà ce qui la fait rire.

___Moi : Ne dis pas un mot. Je reviens lui dire en levant mon doigt pour faire le tour du lit.

___Raquel : bien ! Répondit-elle en souriant jusqu'aux oreilles.

__Moi : Merci ! J'ai poussé un soupir de soulagement.

__Raquel : Ce café est superbement bon. Articula- elle en regardant à l'intérieur de la tasse, elle finit de boire la dernière gorgée.

___Moi : j'ai mal à la tête. Je gémis en massant mon front.

__Raquel : Tu en veux ? Ce café va t'aider à te dessaouler.

___Moi : Ça va aller !

___Raquel : Ne dis pas que c'est à cause du baiser. Elle m'a interrogé.

J'ai haussé les sourcils et soupiré.

___Raquel : Séléna, tu es une femme célibataire, ce n'est pas comme si tu avais trompé Jason.

___Moi : je suis sa veuve Raquel. J'ai fait cette promesse que je ne serais plus jamais en couple, et encore moins que je me remarierais un jour.

___Raquel : Wow, quelle promesse ? Rétorqua-t-elle.

___Moi : Je n'ai pas rompu ma promesse depuis trois ans, je n'ai pas de temps pour les hommes, surtout dans cette situation que j'ai vue aujourd'hui.

___Raquel : Tu envisages de rester célibataire pour le reste de ta vie.

___Moi : Oui, et je ne changerai pas mon destin. J'avais un homme qui m'aimait et je l'aimais en retour, mais la vie en a décidé autrement. Je n'ai pas envie de revivre ces moments infernaux et douloureux que j'ai dû vivre.

___Raquel : Je suis désolée d'avoir fait une telle blague à ce sujet. Si tu sents que tu trahis ta promesse envers ton défunt mari.

___Moi : On oublie tout. C'était juste une blague, d'autant plus que cet homme ne m'a pas vu.

Nous avons tous les deux ri et secoué la tête.

___Raquel : J'espère que tu te sentiras mieux demain.

___Moi : Espérons-le !

___Raquel : Je devrais aller me reposer aussi.

___Moi : Bonne nuit chérie.

___Raquel : De même ma belle !

Elle m'a souri et a quitté la pièce.

J'inspire une bonne sueur, j'ai envie d'oublier ce qui s'est passé ce soir, malgré cela j'ai passé une soirée fantastique où je me suis vraiment amusé. Je me suis laissé tomber entre les draps pendant que je pêchais le plafond.

"09H05"

J'ai retrouvé Raquel en terrasse pour déjeuner dès la fin de ma douche, j'ai opté pour un jean délavé et une chemise émeraude, les cheveux mouillés et balayés sur mes épaules.

__Moi : Bonjour ! Je les salue.

__Raquel : Bonjour chérie !

J'ai posé mes fesses sur mon siège, un membre du personnel m'a servi mon assiette.

__Raquel : tu as bien dormi ?

Je regardais la jeune femme tenant son verre de jus d'orange à hauteur de la bouche tandis que je prenais ma fourchette pour manger mon omelette.

__Moi : Oui, j'ai bien dormi.

__Raquel : Euh Euh Séléna, encore une fois je te présente mes sincères excuses pour hier soir.

__Moi : ne t'inquiète pas.

__Raquel : Tu es sûre que tout ira bien ?

__Moi : Bien sûre. Tu m'as aidée depuis mon arrivée, je ne peux pas te reprocher une simple chose non désirée.

__Raquel : Je vais essayer de me faire pardonner par d'autres moyens.

J'ai éclaté de rire, ce qui a complètement égayé mon humeur. Je sais que Raquel est une bonne personne au fond, elle m'a beaucoup aidé à m'adapter à cet environnement dans lequel j'essaie de vivre.

__Moi : Ça me va ! J'affirme.

__Raquel : J'ai une autre demande à te faire ?

Je lui consacrais mon regard anxieux avec une expression totalement curieuse et inquiétante.

__Moi : Je t'entends !

__Raquel : Je te demande d'être tolérant avec Lorenzo, ce n'est pas une mauvaise personne.

__Moi : je ne te promets absolument rien.

__Raquel : Je te conseille sérieusement de lui faire confiance. Je ne te dis pas cela parce que je suis sa meilleure amie, mais un jour tu comprendras pourquoi je l'ai dis.

__Moi : On verra avec le temps.

__Raquel : D'accord !

"POINT DE VUE DE KAI"

" QUATRE MOIS APRÈS "

J'accoste au château vers 22h15.

___M.Luciano, votre grand-mère a demandé à vous voir. La gouvernante m'a annoncé alors qu'elle se débarrassait de mes affaires personnelles qui étaient entre mes mains.

___Moi : Est-elle revenue de son voyage ? j'ajoute.

___Cet après-midi-là, M. Luciano. Elle m'a confié.

___Moi : Elle est au bureau ?

___Non, plutôt dans la bibliothèque.

___Moi : OK !

___Tu n'as pas encore soupé? J'avais mis du poisson grillé au menu.

___Moi : Dès que j'ai fini de parler à grand-mère.

___ Je vais préparer la table.

Elle partit alors que je me dirigeais vers les escaliers, j'atteignis la deuxième salle d'attente du château, et pris à gauche pour entrer dans la bibliothèque.

Un pas sur le seuil de la porte transparente, je vis qu'elle était allongée sur ce canapé convertible anglais.

Je me suis déplacé aux côtés de la grand-mère, qui était allongée, un livre à la main et plongée dans la lecture.

___Moi : bonsoir mamie ! Je l'ai salué et j'ai pris une chaise pour m'asseoir.

___Lydia : Luciano, quand es-tu entré ? Elle interrompit sa lecture en fermant le livre pour me regarder.

___Moi : je viens d'arriver, grand-mère.

___Lydia : comment vont les activités de l'entreprise ?

___Moi : Tout se passe parfaitement Mamie. Le chiffre d'affaires augmente chaque jour.

___Lydia : Félicitations pour ton leadership.

___Moi : Merci grand-mère.

Elle a enlevée ses lunettes.

___Lydia : Je pense qu'il est temps d'avoir une femme Luciano.

Elle a annoncé à son petit-fils qui avait son regard fixé sur lui, dans chaque mot qu'elle prononçait dans ses phrases qui signifient tant de choses.

____Lydia : Ta sœur va également se marier pour que je puisse avoir la conscience tranquille.

___Moi : c'est pour quand ?

___Lydia : Tu es un homme puissant, tu as besoin d'une femme pour faire taire les ragots sur ta vie. Il est temps que tu me donnes un héritier ainsi qu'elle.

__Moi : Est-elle actuelle ?

__Lydia : Elle n'en aura pas besoin car c'est moi qui décide.

__Moi : je lui ai déjà trouvé un prétendant.

__Moi : Comme tu veux Mamie.

__Lydia : Je veux que tu le convainques de venir pour les vacances de fin d'année.

__Moi: Je le téléphonerai !

J'ai opté pour mon uniforme de masque de jockey de courses hippiques, un des employés qui travaillent dans l'écurie a sellé mon cheval préféré que j'ai acheté en France, il fait partie d'une race très rare et appréciée dans le monde.

Je pose mes mains sur lui pour le caresser et l'embrasser pendant que j'arrange les rênes, prenant le licol pendant que je le conduis hors de la grange.

Je vole donc je monte sur lui en prenant le licol, je me mets au galop en sortant du château pour prendre la direction dans les montagnes.

En arrivant, je tenais bien le licol lorsqu'il fut ralenti par ma demande de regarder ce paysage brumeux de soleil levant en ville qui est magnifique, il n'y avait pas moindre de bruit juste nous deux, c'est si calme et apaisant.

Je descendis de cheval pour m'approcher du sommet de la falaise.

Je m'assois pendant que j'admire les merveilles de la nature qui est resplendissante. Puis je me souviens que bientôt, je devrai partager ma vie avec une femme dont je ne veux vraiment pas.

J'aime tellement ma vie de célibataire que je ne veux pas me décrocher si vite. Pourquoi devriez-vous vous marier si cette personne sera infidèle ?

" POINT DE VUE DE L'AUTEUR "

"10h30"

Le jeune homme est revenu à l'écurie et a donné la rénes à l'un des deux employés pour qu'il puisse s'occuper du cheval.

__Bonjour! Il a entendu derrière lui.

Les autres employés ont accueilli la jeune femme avec le sourire, il est revenu voir.

Il vit le visage d'une femme vêtue d'un costume jaune qui était là, le regardant des pieds jusqu'au visage, la jeune femme lui souriait joyeusement.

__Kai : Paloma Santarossa Pallavicini ! » dit-il à la jeune femme qui continuait de se moquer de son jeune frère.

___Paloma : Tu n'embrasseras pas ta sœur aînée ?

Elle ouvrit les bras pour une étreinte, il préféra les baisser, ce qui provoqua un rire de la jeune femme.

__Kai : Je ne suis pas un gamin, plutôt un homme.

__Paloma : Je suis fière de toi, mon petit frère.

__Paloma : Je savais que je pouvais te trouver ici.

__Kai : tu as vu grand-mère quand tu es venue ?

__Paloma : Oui, je suis là depuis tôt surtout quand elle a parlé cette soirée du cocktail de ce vendredi et de la demande en mariage.

__Kai : Tu dois y aller à cette soir, Sandro Vianci veut te rencontrer.

__Paloma : Ah ! tu es au courant.

__Kai : Elle m'a parlé de leur demande en mariage.

__Paloma : Laissons tout ce sujet pour un autre jour.

La jeune femme posa son coude sur le bras de son frère et ils s'éloignèrent du cheval.

___Paloma : Je veux que tu viennes avec moi au magasin, mon sac sera retardé avant que je le récupère.

___Kai : À quel point cette compagnie aérienne manque-t-elle de professionnalisme. Je vais déposer une plainte pour la perte de tes bagages.

La jeune femme se contente de sourire.

__Paloma : Ce n'est pas nécessaire. Avec une petite correction, mes bagages se perdent parmi les autres, c'est presque normal et les vacances de fin d'année approchent à grands pas.

___Kai : Tu manques d'éthique Paloma.

___Paloma : excusez-moi monsieur ?

Elle s'arrêta brusquement pour la regarder, qui semblait sereine.

___Paloma : Je veux vivre comme une femme normale. Est-ce que c'est ça que tu appelles le manque d'éthique ?

___Kai : Notre familles est complètement le contraire. C'est quoi cette vie ?

___Paloma : Je n'ai pas échappée à mes responsabilités, j'ai simplement choisi un chemin différent du tien. Et tu sais bien la raison pour laquelle je l'ai fait.

___Kai : Je peux comprendre mais tu dois accepter que je me soucie de toi pas seulement de moi, grand-mère et Livia aussi.

___Palomé : Moi aussi Luciano.

___Kai : Tu le penses ?

___Paloma : Tu es en colère parce que j'ai refusé de venir ici en avion privé.

Il releva les épaules et posa sa main sur la sienne pour continuer à marcher mais elle résista.

Elle souriait visiblement à son frère qui répondit par un geste grotesque en roulant les yeux. Elle n’a d’autre solution que de l’accepter car pour lui, c’est un signe d’amour.

___Paloma : Si tu viens avec moi au magasin. Je pourrais utiliser une de tes cartes de crédit.

___Kai : tu veux que je t'accompagne ?

___Palomé : Y a-t-il quelque chose de mal à ce que je sois accompagnée de mon petit frère tout l'après-midi ?

___Kai : Je vais prendre une douche et me changer.

Il a pris la façade du château et l'a traîné derrière lui.

___Paloma : Luciano, tu dois d'abord m'écouter. Elle suggère en criant pour qu'il puisse l'entendre.

Il s'est arrêté brusquement lorsqu'elle a retiré son bras de son coude.

___Kai : Tu peux acheter n'importe quoi, Paloma. . Répéta-t-il à sa sœur.

___Paloma : Je ne veux pas aller dans des magasins de luxe.

___Kai : Je t'ai conduit Paloma.

___Paloma : D'accord, mais j'ai ma demande.

___Kai : Tu peux me demander n'importe quoi.

___Paloma : J'espère que tu laisseras votre gang en dehors de notre voyage. Je veux profiter de ma rencontre juste avec toi.

___Kai : Quoi d'autre ?

___Paloma : C'est moi qui...

___Kai : Ne parle plus, je conduis. Il arracha la phrase de la bouche de la jeune femme.

Elle roula des yeux alors qu'elle poursuivait son frère qui se dirigeait déjà vers le château une nouvelle fois, elle courut vers lui et lui prit le bras pour continuer leur conversation.

___Paloma : Tu marches trop vite Luciano.

___Kai : Hmmm

___Paloma : Nous allons nous amuser.

___Kai : Je l'espère !

___Paloma : As-tu oublié si c'était moi qui t'avais élevé ?

__Kai : J'ai tout oublié ma chère Paloma.

Elle voulut l'embrasser sur la joue, mais il refusa en levant la main.

___Kai : Arrête Paloma !

___Paloma : Tu es exaspérant.

"14h50."

La Jeep Wrangler est garée dans une des rues de la ville de Milan, la porte est ouverte, Raquel et Séléna descendent du véhicule devant ce magasin Dior. La jeune femme leva la tête pour bien regarder autour d'elle, il n'y avait pas un magasin mais presque dix, principalement de l'autre côté de la rue, c'était Armani et de l'autre côté, Zara.

___Raquel : J'aime cette surprise de Lorenzo. Dit-il avec un beau sourire.

__Séléna : On est là pour faire du shopping ? il m'a appelé.

___Raquel : Tu n'aimes pas faire du shopping ? Répondit-il à la jeune femme en lui tenant fermement le bras.

___Séléna : C'est l'argent sale de Raquel. Il semble que vous ne vous inquiétez pas du tout des conséquences. Il lui a chuchoté au visage pour que le garde du corps ne puisse pas l'entendre.

___Raquel : Séléna, tu vis dans un autre monde. Nous devons profiter de la vie.

___Séléna : Je garde les yeux ouverts.

___Raquel : Vous êtes déjà à l'intérieur. Nous sommes sous la protection d'un truand, pour d'autres nous sommes ses complices.

___Séléna : quelle punition ? Il gémit en se touchant le front.

___Raquel : Je te conseille de vivre le moment présent. C’est articulé.

___Séléna : Je ne peux pas.

___Raquel : si tu peux.

___Séléna : je vais essayer

Lorenzo vient d'arriver dans cette Bugatti, il descend et entre dans le magasin, la jeune femme se sent obligée de les suivre pour le moment des courses, et en entrant dans la salle d'attente, elle aperçoit deux jeunes femmes qui se disputent avec lui.

La seconde suivante, le manager vient recevoir personnellement le jeune homme, ils s'embrassent sur les joues avant de briser ce chaleureux sourire.

___Raquel : Ce n'est pas respectueux de regarder les gens comme tu le fais ! Lui murmura-t-il à l'oreille, elle fut surprise par cette voix.

Je lui tapote l'épaule tout en continuant à les réparer.

___Raquel : Il est beau, n'est-ce pas ?

___Séléna : Jason était le plus mignon.

Il rit en la regardant.

___Séléna : Mais c'est vrai.

___Raquel : si tu me le dis.

Avant de réagir au commentaire de la jeune femme, la voix de Lorenzo attira leur attention.

___Lorenzo : mesdames, venez !

Séléna et Raquel apparurent à côté d'eux.

___Lorenzo : Alice, je te présente Séléna et Raquel.

___Bienvenue chez Dior Mesdames !

Elles tiennent la main de la jeune femme pour la présentation.

___Dois-je vous servir du champagne ou autres chose ?

___Lorenzo : Je défends le Champagne. Et vous deux ?

___Raquel : Moi aussi !

___Séléna : Pareil !

__Lorenzo : Attends-moi ici !

La gérante a fait appel à trois vendeuses et leur a confié la tâche d'aider les deux jeunes femmes à choisir vêtements, chaussures, sacs et autres accessoires.

Le jeune homme a quitté le magasin pour entrer dans celui d'en face, mettant les mains dans les poches tout en marchant dans l'allée des vêtements.

Le jeune homme s'est faufilé dans une cabane sur la droite sous les regards des vendeurs dans cette boutique.

Paloma se tourna pour quitter la cabine après avoir fini tous les vêtements qu'elle avait choisis et se retrouva face à face avec Lorenzo qui la regardait seulement sans un mot.

__Paloma : Lo...lo...Lorenzo, qu'est-ce que tu fais là ? réussit-elle à dire avec un cœur serré.

__Lorenzo : Tu pensais que je n'allais pas savoir si tu retournais à Milan.

__Paloma : Tu vas devoir quitter Lorenzo, Kai est ici, je ne veux pas qu'il sache...Elle est incapable de terminer cette phrase, ce qui provoque un rire cynique chez le jeune homme.

__Lorenzo : Que tu es venu chez moi et que je t'ai eu...

__Paloma : tais-toi ! Elle l'interrompit brusquement.

Elle était au bord de la panique, elle attacha ses cheveux derrière son oreille sans pouvoir la regarder. La tension était désagréable dans cette cabane, il se pencha pour marmonner à visage.

__Lorenzo : Je pense qu'il est temps que ton frère soit au courant de notre aventure d'un soir.

__Paloma : Tu n’as pas besoin de le faire parce que je te le dirai parce que tu ne pardonnes pas à mes yeux. Je lui dirai que tu m'as violé ce soir-là.

__Lorenzo : Tu es folle ? Il réplique.

__Paloma : Oui si tu ne me laisses pas tranquille. N'oublie pas que Kai est mon frère. Il est temps que la vérité éclate. Ce n'est pas ce que tu veux.

__Kai : De quelle vérité parles-tu?

Paloma a été choquée lorsqu'elle a vu son frère derrière lui, son cœur battant vite.

Kai courut se placer devant sa sœur avec ce regard irrité lorsqu'il vit que la personne était Lorenzo.

__Kai : Si tu touches à ma sœur, je n'hésiterai pas à t'éliminer de mes propres mains canailles.

Il menace le jeune homme en lui pointant du doigt le visage dans ce ton sévère.

Lorenzo sourit à la jeune femme qui hocha secrètement la tête sans que Kai la voie pour qu'il n'ouvre pas la bouche presque en larmes.

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Chapitre 1.6

©Auteure : Les Chroniques d'une Haïtienne

À Propos de l'Auteur

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