Tome II : Le Choix d'un Cœur Brisé
LE SECOND CHAPITRE D'UNE VIE
CHAPITRE 1.4
"POINT DE VUE DE LORENZO"
"UN MOIS PLUS TARD"
Livia et moi nous sommes assis avec impatience en présence de mes avocats au bureau du juge pour la décision finale après un mois d'attente.
___Vous êtes désormais l'unique héritière de la fortune de Santarossa Pallavicini. Félicitations Mme Mancini. Déclare le juge.
___Merci Monsieur le juge. Articula la jeune femme.
Elle m'a jeté un regard sournois après le verdict du juge. Nous nous levons à la fin de cette réunion.
___Je suis honoré de travailler avec vous. J'ai dit au juge, nous nous serons le poignet.
___Moi aussi Lorenzo. Il a répondu.
___Nous resterons en contact.
___Compte sur moi Lorenzo.
"RÉSIDENCE DI BIANCHI"
J'ai versé du champagne à tout le monde dans la pièce pour célébrer notre victoire. Je suis super excité par les nouvelles concernant mes affaires personnelles ou professionnelles car tout se passe à la roulette comme j'en ai toujours rêvé.
Je peux s'essouffler maintenant. Je suis devenu baron de la mafia et très bien j'en serai le patron. Je prends le contrôle de la majorité des groupes, c'est moi qui livre la marchandise dans presque tout le pays, près de 50% en quelques semaines seulement.
Je sais que je prendrai le reste car ils ne me font pas assez confiance, et la majorité se sont des alliés du groupe de chasseurs [Chef Kaï]. Je sais qu'avec le temps, je prendrai le contrôle de tous les territoires qu'ils voudront ou non. Je peux devenir un leader stratégique et exemplaire. C'est un grand pas que j'ai déjà fait dans le monde mafieux.
Nous portons un toast à notre objectif commun : C'était la chute de la dynastie Santarossa Pallavicini, et ce jour est venu même si nous avons déjà exécuté ce plan à la perfection.
Il n'y a plus de Santarossa Pallavicini dans le pays depuis leur descente aux enfers après la mort de Luciano. Vu que Paloma et son mari ont quitté Milan probablement le même soir selon l'information que j'ai apprise car j'avais envoyé six de mes hommes pour y aller pour lui rendre une seconde visite en moins de vingt-quatre heures.
Ils sont partis parce que j'avais signalé la DEA, sa présence pour qu'il puisse croupir derrière les barreaux pour haute trahison. Il était plus intelligent que moi cette fois. Bientôt, se reverra-t-on un jour ou l'autre ?
____Je tiens à te remercier sincèrement Lorenzo. Livia me l'a dit en s'approchant de moi.
____Nous sommes sortis gagnants de cette mission. Dis-je en sirotant ma coupe de champagne.
____Tu es un excellent négociateur Lorenzo pour tromper le juge. Il sourit en parlant au jeune homme.
____J'ai beaucoup appris lors de notre alliance avec Kai. J'ai précisé.
____Tu veux être comme lui en tout. Je te conseille sérieusement de rester qui tu es puisque Luciano est unique. Elle me rappelle.
____Luciano t'a-t-il aidé aujourd'hui ? Je grognai entre mes dents serrées face à ses commentaires désagréables.
____Ne sois pas en colère. Elle a répondu.
____Quoi? Livia, ton cher, Luciano a dix pieds sous terre. Je vocifère.
____Je sais Lorenzo. Fut-elle.
____Ne me compare pas à lui. Je suis énervé.
____Lorenzo, puis-je te parler ? Murmure Aurora qui vient interrompre notre conversation.
___Bien sûr, chérie. J'ai répondu.
J’ai lancé une lourde fixation à la jeune femme et suivit ma femme."POINT DE VUE D'AURORA"
Je prends la main de mon homme pour nous rejoindre dans notre chambre. En arrivant, je l'ai fait asseoir sur le lit et je suis allée lui chercher cette petite boîte.
____Un cadeau ? Il a ri en me regardant.
____Ton cadeau mon amour. Je répète.
____Le nôtre ! » affirma-t-il en secouant la tête.
____Hmmm. J'ai hoché la tête avec un sourire.
____Je vais l'ouvrir pour voir. Il a ajouté.
Il déballa rapidement la boîte. Il a enlevé la couverture et a levé la tête pour me fusiller littéralement avec la bouche grande ouverte. Il a creusé cette main pour sortir le test de grossesse dans la boîte qui contenait ces deux barres.
____Tu es enceinte d'Aurora. Répéta-t-il d'un ton moqueur.
____ Oui. Nous serons à nouveau parents. J'aurais aimé que ce soit un garçon. J'ai acclamé, tout excité par l'arrivée de notre enfant.
____Moi aussi chérie.
____Es-tu heureux mon amour ?
____Bien sûr ma puce.
Il s'est levé pour me faire un câlin puis partager un baiser sur mes lèvres. Nous profitons de ce moment idyllique avec notre fille pour nous l'annoncer cette bonne nouvelle. Un peu dans la soirée, Lorenzo et moi avons annoncé cette nouvelle à la famille qui a été très vite heureuse de l'arrivée de notre bébé dans la famille Di Bianchi.
On se détend sur la terrasse avec un barbecue. Je suis venu m'asseoir sur Lorenzo qui discutait secrètement avec Livia. Elle s'est levée du canapé pour nous laisser en toute intimité.Je n'aime pas la façon dont cette Livia regarde mon homme. Je ne l'ai jamais aimée lorsque j'étais en couple avec Luciano. Cette femme est trop proche de mon Lorenzo, Je dois le surveiller tous les jours maintenant.
"POINT DE VUE DE KARINA"
J'ai atteint le bureau où j'ai vu Lorenzo travailler dur sur son ordinateur portable. J'ai décidé d'avancer pour pouvoir avoir une petite conversation avec lui.
____Je suis fier de toi mon enfant. Je lui ai dit.
Il a levé la tête pour pêcher, je remonte la couverture sur mon épaule, admiratif de l'homme que j'ai construit. En tant que mère, cela me fait plaisir de voir la direction que prennent mes deux enfants. Exactement Jason qui a choisi la voie du renversement mais de la protection de l'empire de son frère aîné.
___Merci Karina. Il répond.
___J'aimerais que tu épouses Aurora, elle attend ton deuxième enfant, je pense que tu devrais l'honorer et ton mariage aurait un impact sur le monde des affaires.
___J'ai aussi pensé à cette stabilité également. J'espère lui parler très prochainement. Il a justifié.
___Pour Jason, j'attends qu'il quitte l'hôpital pour avoir une conversation sérieuse avec lui. Continuai-je.
___Il veut avec sa femme et son fils. Il me confia.
___Qu'est-ce qu'il trouve dans cette femme ? Je répondis avec un air dégoûté et posai ma main sur ma hanche.
___Il aime vraiment Karina.
___Je vais lui parler moi-même.
___Nous verrons.
___Cette femme n'appartiendra jamais à notre famille, Lorenzo.
___Puis-je posé une question ?
___Laquelle ?
___Est-ce qu'il s'est passé quelque chose entre Sandro, le mari de Paloma et toi, maman ? Il m'interrogea en me fusillant de travers et s'installa confortablement dans son fauteuil.
___Tu me manques du respect Lorenzo. Ajoutai-je sereinement.
___Je ne sais pas, peut-être que tu as couché avec lui. Il a essayé d'expliquer cette question.
___Il enquêtait sur nous Lorenzo. J'ai crié.
___En gros, il sait se passer un tour entre vous deux ? Il a insisté.
___Ça concernant lui et moi.
___Je comprends tout maintenant.
Je me suis retourné pour quitter le bureau. Je sais que moi et Sandro étions juste du sexe, il m'a lui-même confirmé. Au début, c'était juste un jeu pour nous, puis j'ai fini par en profiter tous les jours. Le seul homme que j'aimais ainsi était le père de Luciano. Il me gâtait beaucoup durant nos six mois de relation tumultueuse avant que tout ne coule à flot.
Il n'a même pas eu le courage de me confronter, il a préféré envoyer sa mère, Lydia Santarossa Pallavicini, pour m'annoncer qu'il était avec moi pour avoir un enfant au moment où ils ont appris que j'étais enceinte. Je n'ai jamais pu aimer Luciano, à chaque fois, je vois, je me souviens de son père et de ses coups bas. Depuis cette date, j'ai une haine profonde pour chacun des membres de cette famille.
"POINT DE VUE DE L'AUTEUR"
"OTTAWA : Canada"
"15 H 20"
La jeune femme ouvrit les yeux avec beaucoup de difficulté. Elle se toucha le front et regarda étrangement l'endroit où elle était allongée dans ce lit qui ne lui semblait pas trop familière. Elle essaya de se lever, mais elle n'y parvint pas, elle ressentit une douleur dans le bas de son ventre qui lui faisait mal à cause de l'effort soudain qu'elle faisait. Elle serra les dents en essayant de se relever pour pouvoir s'asseoir lentement. Elle a vu que c'était dans sa chambre et dans son foyer.
Elle continuait à regarder chaque recoin de cette grande pièce qui lui paraissait étrange. Tout était arrangé contrairement à la façon dont elle l'avait laissée. Le cri aigu du bébé dans le berceau, qui provenait du réveil de la sieste, et qu'elle n'avait pas remarqué au début, attira son attention. Elle sourit en se levant du lit et en s'avançant du berceau où elle vit son fils pour la première fois.
Elle regarda son fils qui tirait ses deux petites mains et ses petits pieds dans le berceau, il pleurait de manière assourdissante plus fort qu'avant. Elle se penche pour le prendre dans ses bras pour le tempérer avec la douceur d'une mère. Elle est ravie pour leur première rencontre entre mère et fils.
____Paloma, tu es réveillée ? Elle entendit la voix de son mari qui franchissait la pièce.
____Notre fils est magnifique mon amour. Elle a répété en réparant son mari.
____Laissez-moi te soutenir. Il repliqua en voulant prendre le bébé. Elle refuse en reculant vitement.
____Tu vas me séparer de mon bébé. Elle serra fort son enfant dans ses bras avec une expression triste.
____Fais-moi confiance. Je ne te serai jamais séparé de notre fils. Il adoucit sa voix.
Il fit un pas vers elle. Il a remarqué que sa femme pouvait avoir un problème psychologique dû à cette réaction ou peut-être le symptôme post-partum qui commence déjà à faire effet. Elle a beaucoup souffert ces jours-ci, ce qui a joué sur sa santé mentale. Il devrait être plus patient et prudent envers elle.
____Il est encore fragile mon amour. Tu devrais juste le nourrir, il a besoin de toi. Il suggère à sa femme au cri soudain de leur fils.
____Maman est désolé, mon chéri. Elle a écarté leur fils pour mieux voir celui qui pleurait à nouveau. Le jeune homme inspira de soulagement lors de cette réaction.
Il accompagne sa femme dans le lit, et repose leur fils dans ses bras pour qu'elle puisse bien le nourrir. Elle s'assit en face de la jeune femme qui souriait radieusement à son mari et à son fils. leur fils bougeait dans cette serviette de contentement de sa première rencontre avec sa mère.
____Il a hérité de tes traits, mon amour. Elle s'adresse à son mari, réparant alternativement son bébé et lui-même.
____C'est vrai Paloma. Il sourit.
____Tu n'as aucun doute, n'est-ce pas vrai ?
____As-tu couché avec lui pendant notre mariage?
____Absolument pas Sandro. S'il te plaît, crois- moi. Elle voulait la toucher, il retira sa main pour l'éviter. Elle devient perplexe et triste et renifle une larme repoussante.
____J'ai fait un test ADN sur notre fils Paloma. » a-t-il déclaré directement.
Elle fondit en larmes et baissa la tête.
___Je sais que c'est humiliant pour notre fils, mais j'ai dû le faire pour avoir un esprit apaisé. Je ne le regrette pas. Il a justifié son travail.
____Nous devrions parler en toute sincérité Paloma ! Il lui a proposé.
____Je suis consciente de ce point. Elle poussa un soupir.
____Laisse-moi emmener notre fils.
____D'accord.
Il a emmené leur fils qui dormait en suçant le sein de sa maman dans son berceau. La jeune femme profita de ce moment pour se calmer et arranger sa pull-over, elle réprima ses larmes à deux mains sur ses joues et soupira. Le jeune homme revint occuper cette place au bord du lit. Il prit ces deux mains pour qu'ils puissent se regarder. Paloma affichait une expression triste et troublée. Son cœur bat à cent milles à l'heure car c'était le verdict final de leur mariage qui était enfin arrivé.
____Laisse-moi parler une dernière fois Sandro. J'ai fait une erreur dans notre relation, au début j'avais sérieusement envie d'avancer et d'oublier Lorenzo, puis nous sommes devenus un couple. Il a continué à venir au magasin à plusieurs reprises et m'intimider.
Un jour, j'ai eu envie de l'écouter et j'ai quand même cédé à la tentation parce que j'étais une femme naïve et amoureuse. Je ne te forcerai pas à rester si tu veux y aller. J'accepte ce divorce à cœur ouvert et sans rancune. Ne t'inquiétes pas pour notre fils, nous trouverons un terrain d'entente pour que notre séparation ne l'affecte pas.
____Et Fatima ? Pourquoi n'as-tu pas dit à Lorenzo que c'était sa fille ?
____Il n'en veut pas. Je ne le forcerai pas à assumer ses responsabilités si ce n’est pas ce qu’il souhaite. Elle l'a révélé à son mari.
___Tu comptes le relever un jour ?
___Je ne pourrai jamais pardonner à un homme qui a trahi mon frère et causé la mort de ma famille. J'ai tout perdu, toi, ma mon mariage et ma famille. Je sais que je vais me reconstruire avec le temps. Je veux que tu sois au courant, j’ai aimé chaque seconde que nous avons partagée dans cette chambre et ailleurs aussi. Tu es une personne extraordinaire Sandro. Je vais demander deux faveurs.
___Qui sont-ils ?
___Donnez-moi cette semaine pour trouver une maison où je pourrai être à l'aise avec mes enfants, puis concernant le lien parental entre Lorenzo et Fatima, que toutes ces choses restent entre nous.
___Je me tairai sur le deuxième, mais pour le premier, où vas-tu trouver cet argent?
___J'appellerai Livia pour me transférer une partie des bénéfices de mon magasin et n'oublie pas que je suis la seule héritière de Mamie puisque Luciano a déjà bâti son propre empire.
____Il ne te reste rien Paloma. Lui annonça-t-il.
___Quoi? » cria-t-elle d'une voix étranglée.
___Le ministère public a saisi tous les biens de ton frère contre ces actes criminels. Concernant ta boutique, elle a été incendiée et le reste de l'avoir a été liquidée sur le marché commercial. Pour une fortune, Livia a tout pris puisqu'elle n'avait pas ton nom comme héritière sur le testament de ta grand-mère. Annonça-t-il à la jeune femme qui battait des paupières, elle ne pouvait pas dire un mot de choc.
___Écoute-moi Paloma, la situation est plus grave que tu ne le pensais. Tout t'as été volé et je dois aussi te dire que tu ne pourras plus avoir d'autres enfants après ton opération d'urgence. Il a expliqué à sa femme, parce qu'il jugeait que c'était le moment crucial pour qu'il fasse le bilan des événements survenus ces dernières semaines.
___Quoi... quoi ? Elle a trébuché à cause de la fixation de son mari.
___Tu n'as pas un centime sur ton compte Paloma. Il lui lança un regard triste.
Elle secoua la tête, se ressaisissant.
___Je gère Sandro. Elle articule fermement.
___Et nous deux ? » Lui demanda-t-il docilement, leur attacha les mains, ils se regardèrent.
___Tu mérites une meilleure femme que moi Sandro. Elle a réprimé ses émotions pour le répéter.
___On dirait qu'il n'y a pas de place pour moi dans ton cœur. M'as-tu jamais aimé Paloma?
___Tu sais plus que moi que c'est faux.
___Qu'est-ce que cela signifie?
___J'ai appris à t'aimer chaque jour qui passe, dans la vie, ce n'est pas le premier qui compte mais le dernier qui m'a toujours aimé et soutenu. Tu ne m'as jamais abandonné Sandro. Je sais que j'ai fait des erreurs pendant notre relation mais je t'aime Sandro. Elle a révélé.
___Et si nous recommencions là où notre amour s'est arrêté ?
___Tu veux vraiment nous donner une seconde chance Sandro ? Elle est surpris par cette demande.
___Nous laisserons tout derrière nous pour pouvoir vivre notre bonheur, notre amour, notre famille et nos enfants. Je prendrai Fatima comme si c'était la mienne. J'ai fait la promesse que je ne me plaindrais jamais du passé ni n'en parlerais.
___J'ai aussi fait cette promesse Sandro, je t'aurais seulement dans mon cœur et je serais dévoué à notre famille et à toi-même.
___Je t'aime Paloma ! il avoue.
___Je t'aime encore plus mon mari.
Elle s'approche lentement de son mari, elle lui met la main au visage, ils se regardent passionnément puis s'embrassent langoureusement pour un baiser fusionnel destiné à consolider leur réconciliation.
"MILAN : ITALIE"
"MANSION SANDOVAL"
"22 H 45"
Marina sort de la douche au son de téléphone qui sonnait dans la chambre, et voit le nom de Matéo apparaître sur l'écran. Elle l'a pris et l'a porté à son oreille.
___Bonsoir Mateo.
___J'aimerais te parler, es-tu occupé?
___Pouvons-nous nous voir demain ?
___Votre mari est-il là ?
La femme a vu Mauro entrer par la porte de la chambre. Il fit signe qu'ils les attendaient pour la soupe en bas. Elle lui tendit la main en signe de réponse, elle sera là dans cinq minutes. Il secoua la tête et partit.
___Nous parlerons demain.
___Au restaurant Paillis à 8h du matin, Marina.
___D'accord.
___Qui était au téléphone ? La dame fut surprise par l'apparition soudaine de son mari dans la pièce alors qu'elle s'apprêtait à partir.
Il l'a visualisé étrangement.
___Un collègue au boulot. Elle parvint à répondre tout en se remettant du choc. Elle tenait la serviette enroulée autour de sa poitrine.
___A cette heure Marina ? Il la regarda sévèrement.
___Je suis désolée mon amour, il voulait vraiment me parler concernant d'un patient à l'hôpital. Lui dit-elle en se dirigeant vers la salle de bain.
___Tu sais notre règle, nous avons dit, pas d'appels après 21 heures. Il s'est plaint.
___Ça n'arrivera plus mon amour.
___On t'attend sur la terrasse mon amour. Il lui sourit tendrement.
___Je serai là dès que j'aurai fini ma douche.
___Je te laisse finir, chérie.
Il part et la dame vérifie rapidement s'il est parti avant de s'asseoir sur le canapé pour reprendre son souffle.
© Auteure : Les Chroniques d'une Haïtienne
Chapitre 1.5
