REMARIAGE D'UNE VEUVE À LA MAFIA

#CHAPITRE 1.7

CE QU'IL VEUT VRAIMENT !

#GENRE : DRAME_PASSION_POUVOIR #WRITTEN_BY : CHRO : HAÏTIENNE 🇭🇹

"POINT DE VUE KAI"

Elle m'a regardé sournoisement et j'ai réalisé qu'elle faisait une farce, pour qui cette femme se prend-elle, en me dévisageaient d'une telle manière ?

___Séléna : Jamais, vous me posséderez, idiot ! » A-t-elle déclaré directement.

___Moi : Si j'étais toi, je penserais différemment. J'ai précisé.

___Séléna : Tchuipps, je ne perdrai pas de temps avec vous.

Elle continua son chemin quant à moi, qui riais cyniquement de ses paroles qui ne me faisaient ni chaud ni froid.

Je me gratta le menton et pinçai les lèvres d'un air diabolique.

___Moi : Tu viens déléchenche ta propre souffrance chère Séléna.

J'ai entendu un rire moqueur derrière moi.

___Lorenzo : Elle te plaise ?

Il est venu et s'est tenu devant moi avec ce rire satisfait.

___Moi : je ne savais pas que tu avais une sœur ?

___Lorenzo : Depuis quand dois-je te parler de ma famille ?

___Moi : je veux te dire que j'ai perdu une autre marchandise en Sicile, ta sœur y était à ce moment-là.

___Lorenzo : Pardon ? Accuses-tu Séléna ? Tu deviens complètement paranoïaque Kai. Tu as besoin de vacances car ton cerveau se déconnecte de la réalité, je te conseille sérieusement de profiter de la vie.

Il affiche cette expression d'homme sérieux à embobiner mais non je ne tomberai pas dedans.

___Moi : je ne te fais pas confiance.

___Lorenzo : De même, cependant, tu laisses ma sœur dans notre crasse. Tu n'as qu'a fermé tes yeux sur lui.

___Moi : J'espère sincèrement, Lorenzo, tu ne mens pas.

___Lorenzo : Laisse-moi profiter de mon anniversaire.

"RÉSIDENCE BLACKOUT"

J'ai pris ma tasse de café et l'ai lentement portée à ma bouche pour en prendre une gorgée. J'ai commencé à regarder tous les documents que Patricio avait laissés sur la table basse lors de notre apparition dans ma résidence personnelle.

J'ai vérifié toutes les informations nécessaires sur cette jeune femme et je n'ai rien trouvé plutôt que des bonnes choses. C'est exactement la sœur cadette de Lorenzo, Séléna Di Bianchi, 30 ans, elle a étudiée le marketing management à Londres dans une université très réputée.

J'ai vu son parcours qui est tout à fait parfait, elle a beaucoup voyagé d'un pays à l'autre. Elle n'a pas de réseaux sociaux, ce qui me dérange un peu car la plupart des femmes de son âge sont accros aux réseaux sociaux alors peut-être qu'elle sait faire la différence.

J'ai dû profiter de l'occasion pour le manipuler dès que j'ai su qu'elle était en Sicile mais selon les propos de ce traître, il a certifié avoir vendu la marchandise à une femme nommée Elena Perrera. Je demande de faire une enquête approfondie pour savoir qui est cette femme ?

" POINT DE VUE DE SÉLÉNA"

J'ai cherché Lorenzo partout dans cette foutue villa jusqu'à ce que je tombe sur lui qui flottait vers l'une de ses femmes.

J'ai hoché la tête pour qu'il me suive dehors.

___Lorenzo : Tout va bien ? Il m'a rétorqué en notant que ma pression avait augmenté.

J'ai regardé autour de moi pour voir si quelqu'un nous surveillait.

__Lorenzo : Quelle est cette étrange habitude ?

___Moi: Kai, plutôt Luciano Santarossa Pallavicini, connaît la vérité, il sait que j'étais en Sicile. J'étais irrité à plusieurs reprises.

Il me regardait et riait comme si je plaisantais.

__Moi : c'est une blague pour toi hein ?

___Lorenzo : J'ai couvert tes traces même s'il est très intelligent, ta fausse identité te protégera, belle-sœur.

J'ai abaissé mes mains qui étaient sur mes hanches, oubliant complètement cette partie du plan, et j'ai secoué mes doigts de soulagement.

__Lorenzo : Je suis là pour te protéger.

__Moi : Ce jeu de gangsters super cool ne marchera pas sur moi peut-être sur tes minettes.

Il commence à rire narquoisement.

__Lorenzo : Ne t'inquiète pas Séléna, c'est presque impossible pour nous deux, sinon le fantôme de Jason ne me laissera pas tranquille.

J'ai roulé des yeux.

__Lorenzo : Bien sûr tu es très belle, mais pas pour ton beau-frère.

__Moi : Au moins, tu as la morale.

__Lorenzo : Je te considère comme ma belle-sœur, tu peux être tranquille, mais les autres sont à moi.

J'ai ri et il m'a souri aussi avant de rejoindre ces femmes dans la piscine.

" POINT DE VUE DE PALOMA "

Je me suis assis devant mon téléphone lors de cette conversation téléphonique très importante sur mon boulot qui me tient à cœur.

___Moi : Vous pouvez m'envoyer le patron via WhatsApp, j'ajouterai une touche tendance à la robe au moment de la finalisation. J'ai dit au client.

___Je vous enverrai plusieurs modèles parmi lesquels choisir. Rétorquez-t-il.

___Moi : Cela me facilitera la tâche ! Vous pourriez choisir le modèle à essayer avant de le retoucher.

___Nous sommes mis d'accord sur cet accord qui sera avantageux pour nous deux.

___Moi : je vous envoyerai un e-mail la semaine prochaine.

___Ok Mme Paloma !

J'ai tapoté mon index sous l'appel pour raccrocher. J'ai posé mon téléphone sur les patrons éparpillés sur mon bureau. Je me suis levé de ma chaise pour aller chercher un mini-sac qui contenait mes affaires dans la valise qui se trouvait dans mon placard.

J'ai entendu la porte s'ouvrir soudainement.

___Lydia : Ma fille ! Ma grand-mère s'est approchée dans ma direction.

___Moi : Grand-mère, comment s'est passé ce séminaire ? Je suis venu le saluer.

__Lydia : Eh bien, ma fille. Elle me caresse la tête, je lui souris tendrement.

Elle m'a pris la main et m'a fait asseoir sur le canapé qui se trouve devant le lit, je le regardais de cet air joyeux.

___Lydia : Est-ce que ton frère est déjà là ?

___Moi : Il est resté dans son appartement ce week-end.

__Lydia : Pourquoi rester là-bas, s'il a cette maison.

J'ai souri à la vieille dame qui s'inquiète pour Kai.

__Moi : Il aime être seul, il n'a pas d'amis à part Patricio qui le soutient vraiment.

__Lydia : Laissons !

Elle me regardait étrangement, ce qui me semblait probable que je me demandais de quoi elle allait me parler.

___Lydia : Je veux te parler ma Paloma.

___Moi : De quoi grand-mère ?

___Lydia : Je veux organiser ta rencontre avec le magnat Sandro Vianci ce dimanche.

Je serre docilement les poings. J'ai avalé une couche de salive pour m'aider, un mot ne pouvait pas sortir de ma bouche. Je remets mes cheveux noirs derrière mes oreilles.

___Lydia : Tout est prêt, ma fille. Il est temps d'épouser un homme de notre rang social.

___Moi : il sait déjà ?

___Lydia : Il vous appellera demain pour finaliser cette rencontre.

___Moi : Et si je ne souhaite rencontrer personne ?

___Lydia : C'est dans ton intérêt de le voir. Tu dois faire bonne impression dès le premier rendez-vous.

Il se leva du canapé pour quitter la pièce.

J'ai emmené un cousin à genoux dans ce moment de réflexion où j'ai senti un mélange d'émotions m'envahir qui m'a fait me tourner vers cet horrible passé que je veux oublier car c'est devenu ma pire erreur.

"RETOUR EN ARRIÈRE"

J'en ai fini avec ce client, j'ai quitté le restaurant pour aller au parking, quand je suis allé ouvrir la portière de ma voiture, j'ai vu qu'un de mes pneus était à plat, j'étais inimaginablement énervé car j'ai un autre rendez-vous à clôturer mon emploi du temps pour la journée.

J'ai ralenti et vérifié mon pneu, je suis allé poser mon sac sur le capot et je l'ai ouvert, j'ai pris mon téléphone pour appeler immédiatement un réparateur.

C'était en vain, le réseau ne fonctionnait pas, je me demandais ce qui se passait de toute façon ? C'est la première fois que j'ai ce genre de problème depuis mon arrivée ici pour les vacances d'été avec ma famille et aussi le boulot.

Je lève mon téléphone en l'air, je cherche du réseau, alors je vais frapper quelqu'un sans regarder où je vais, j'ai été surpris des dégâts que j'ai causés lorsque notre contact visuel en est un. J'ai été surpris par ses beaux yeux et son teint parfait qui m'ont rendu timide car c'est un bel homme. J'ai senti que mon cœur battait plus vite qu'avant lorsqu'il souriait tendrement.

__Lorenzo : Que se passe-t-il, madame ?

Cette voix m'a ramené sur terre.

__Paloma : C'est Mlle ! Je ne suis pas mariée. J'ai levé la main pour lui montrer que je suis libre comme l'air.

__Lorenzo : Excusez-moi pour cette impression Mlle !

__Paloma : Paloma Santarossa Pallavicini ! J'ai répondu si précipitamment que je me suis senti stupide à cause de la façon dont il riait au coin de ses lèvres de ma réponse.

__Lorenzo : Paloma enchantée.

___Paloma : pourquoi tu me regardes comme ça ? Je pinçai les lèvres alors que je la regardais secrètement en retour.

___Lorenzo : Je n'ai pas ce droit ? Il se tourna rapidement la question.

___Paloma : Ce...ce...ce droit ? Je bégaie.

___Lorenzo : Oui, je te trouve super belle.

___Paloma : Merci ! J'ai souri bêtement.

___Lorenzo : Où vas-tu ? Où puis-je vous déposer ?

___Paloma : pourquoi tu veux savoir ?

___Lorenzo : Peut-être que je veux t'emmener dans ma villa.

Je ris de son humour qui dégage une forte énergie.

___Paloma : vraiment !

___Lorenzo : En gros, je ne peux pas supprimer ce travail moi-même ?

___Paloma : Vous pouvez me passer la chemise, je prendrai votre numéro pour vous la donner un autre jour ou en acheter une autre de la même couleur.

___Lorenzo : malheureusement mes vêtements sont faits sur mesure. Il m'a recadré directement.

Je secouai la tête en me mordant la lèvre.

___Paloma : qui êtes-vous? Je murmurais doucement devant l'intensité de cet homme qui me faisait vibrer, il y a ce sentiment qui s'accorde une sensation dangereuse entre nous qui me déroute beaucoup cependant je vais vraiment le savoir pour satisfaire ma curiosité.

___Lorenzo : l'homme qui va voler votre cœur ? Il se pencha pour avouer de cette douce voix qui m'a surpris.

___Paloma : Comment pourrais-je réparer l'erreur que j'ai causée ? J'ai levé les yeux pour lui répondre, j'ai été intimidée par sa fixation intense qui m'a secoué, et qui ne m'a plus quitté depuis notre rencontre.

___Lorenzo : Allez ! Il m'a pris la main et a pris mon sac pour me conduire à sa voiture.

Quand nous sommes arrivés dans sa ville, j'ai été surpris de voir que c'est un gars super riche même si son apparence ne le montre pas. Heureusement je ne l'ai pas jugé dans les premières secondes de notre rencontre.

Jusqu'à présent, je ne sais pas grand-chose, son nom est simplement Lorenzo. J'étais assis avec impatience dans le salon en attendant son retour.

J'attendais qu'il vienne avec impatience, je l'ai vu arriver, j'étais nue et en pantalon de jogging, et j'ai fixé d'a gauche pour ne pas me distraire de cette tentation.

Il m'a attiré vers lui, un geste que je n'ai pas refusé, il m'a arraché la bouche dans un baiser que j'ai finalement accepté.

" FIN DU FLASH-BACK "

Je suis tombé dans le lit, je ne peux pas croire que j'ai fait quelque chose comme ça. Cette culpabilité me ronge profondément l’âme depuis trois ans, que je n’ai pu partager avec personne.

" POINT DE VUE DE LORENZO "

Je suis arrivée à ce défilé de mode. Je porte un costume une pièce marron, je me promenais dans le hall de cet hôtel où l'on organise l'événement.

Je suis allée mettre la main sur l'ascenseur pour entrer dans l'étage où se déroulait le défilé de mode, je me suis assise au premier rang pour pouvoir regarder les nouvelles tendances de cette année qui me plaisent.
À la fin, nous avons rejoint la terrasse pour un banquet.

J'étais debout, mon verre sur la table, je discutais avec des connaissances venues me saluer. J'ai pris mon verre pour boire mon Champagne, et mes yeux se sont posés sur Paloma qui venait d'apparaître, elle était accompagnée de cet homme qui ne me semblait pas inconnu. Ils sourient et se discutent lorsqu'ils reviennent à leur table.

___Moi : Excusez-moi ! J'ai dit à mes interlocuteurs que j'irais chez le couple.

___Moi : Bonsoir ! Je leur dis dans ce ton sacarsme.

Elle a été surprise par ma présence et cela m'a fait rire lorsqu'elle m'a regardé dans les yeux.

___Paloma : Bonsoir ! Articula-elle froidement.

___Bonsoir ! Répondez à cet homme que j'ai analysé une seconde ce vieux bonhomme, qui a une ressemblance frappante avec un perroquet.

___Moi : Tu me présente pas Paloma ? J'ai marmonné à la jeune femme qui n'a d'autre choix que de m'obéir. Elle m'a souri en voyant cet homme nous regarder.

___Paloma : Euh Sandro, j'ai présenté Lorenzo Di Bianchi. Elle a levé la main pour nous faire une présentation plus simple que possible

___Lui : Enchanté M. Di Bianchi, vous êtes le PDG de D'aigle Banque Commerciale ? Il m'a demandé.

___Moi : En cher et en os. Je lui ai répondu, Paloma a levé les yeux au ciel à ma réponse.

___Lui : J'ai beaucoup entendu parler de vous. Je suis heureux de t'avoir rencontré en personne. Il attend cette main, je la prends pour la tenir au poignet.

___Moi : C'était un plaisir Partager Sandro Vianci.

___Paloma : Excusez-moi ! Je dois répondre à cet appel. Nous a-t-elle dit en sortant son téléphone de son sac.

___Lui : Prends ton temps !

Ils partagent un sourire, elle prend la direction pour quitter la terrasse, le jeune homme ne cesse de regarder Paloma qui s'éloigne de nous avec le téléphone à l'oreille.

" POINT DE VUE DE L'AUTEUR "

Paloma quittait les toilettes des femmes lorsqu'elle avait fini sa mise en beauté bien qu'elle ait décidé de quitter le banquet en revenant sur la terrasse, lorsqu'elle sortit, elle fut surprise de voir Lorenzo debout, le dos contre le mur et ses deux les mains en l'ont débauché, elle ne voulait pas que sa présence l'intimide, il est venu à bout, le jeune homme lui a attrapé le bras brutalement pour l'emmener aux toilettes des hommes malgré qu'elle ait résisté à le lâcher.

Il a posé sa main sur sa bouche, il l'a coincée dans le mur et a laissé tomber son cou dessus, lui-même. Paloma leva la tête pour pêcher le jeune homme qui baissa la tête, il chercha ses lèvres, la jeune femme lui facilita la tâche en rencontrant son visage avec le sien, il écrasa ses lèvres sur les lèvres dans un baiser passionné et passionné.

Il a pressé la jeune femme contre lui pour lui montrer qu'il lui appartenait et qu'il avait clairement le contrôle. Il souleva la robe de la jeune femme et commença à lui caresser les cuisses tout en les pressant sur la taille du jeune homme.

La voix de ces deux hommes les interrompit, la jeune femme reprit rapidement ses esprits normaux, elle descendit réparer sa robe et se précipita dans le couloir, les regards des deux hommes qu'elle croisa devant elle apportèrent une honte totale.

Ces hommes sont souriants complices de cette scène, comme pour Lorenzo, qui à son tour courait devant la jeune femme qui le regardait méchamment.

___Lorenzo : Je veux qu'on aille ailleurs Paloma. Il lui a proposé.

___Paloma : Tu veux m'avoir dans ton lit Pourquoi cette fois ? Vu que la première était d'avoir des informations sur mon frère. Elle a demandé.

___Lorenzo : Je sais qu'il y a du feeling entre-nous.

___Paloma : Il n'y a que le sexe qui t'intéresse, n'est-ce pas ? Tu veux flatter ton ego homme d'avoir baiser la grand-soeur ton meilleur ennemi.

___Lorenzo : Peut-être ! Il leva les épaules vaguement.

La jeune femme est blessée par son honnêteté, sa franchise lui a nouveau brisée, son cœur. Il allait faire un pas de plus vers la jeune femme qui ouvrait les yeux pour que ses larmes ne coulent pas sur ses joues violettes pour qu'il ne voie pas sa immense douleur.

___Lorenzo : Je t'ai blessé ? Lui répondit-il.

___Paloma : Non ! Elle a certifié.

Elle tourna les talons pour rejoindre son compagnon sur la terrasse, elle s'arrêta pour pleurer amèrement sans que personne ne la voie, la vérité qu'il confirmait la blessait beaucoup.

" POINT DE VUE DE SÉLÉNA "

J'ai visité ce parc aquarium en fin d'après-midi, Raquel et moi, nous nous sommes placés devant ce vitre pour regarder les animaux à l'intérieur.

Je suis resté à l'écart de la foule pour entrer dans cette partie presque vide, j'ai dû analyser minutieusement chaque partie.

Je sentais que quelqu'un était là.

Je me suis retourné, je me suis assoupie en réalisant que c'était lui, il portait un costume trois pièces à rayures bleu turquoise et un manteau en cuir posé sur ses épaules.

J'ai observé l'environnement, nous étions seuls, j'ai demandé comment il savait que j'étais ici ? Est-ce qu'il me surveille ?

__Kai : Bel endroit ! Il marmonna.

Il a marché lentement, je l'ai carrément ignoré en gardant la bouche fermée.

__Kai : Je suis là pour te parler ?

Je le regardai, croisai les bras lorsqu'il me fit face.

__Moi : Nous n’avons absolument rien à dire.

__Kai : J'aurais dû autrement. J'irai droit au but, je veux que tu sois ma femme pendant six mois mais il y a deux critères que tu dois remplir. Que tu ne sois pas une veuve ou une divorcée et que tu es vierge. Je n’accepterai jamais que ma femme ne soit touchée par un autre à aucun moment de sa vie.

Il propose à la jeune femme qui a été choquée par la mentalité de cet homme, on dirait un homme traditionnel du moyen âge.

Chapitre 1.8

Les Chroniques
d'une Haïtienne

REMARIAGE D'UNE VEUVE À LA MAFIA - Chapitre 1.7